Chant des sirènes
Ecrire le chant des sirènes, les mélopées, qu'Ulysse et son équipage entendent à leur retour de voyage, avant leur retour à Itaque
Oh, toi le marin au long cours,
Tu navigues depuis de nombreuses lunes,
Trop de lunes sans doute pour te rappeler qui tu es !
Tu as bravé tempêtes et ouragans.
Ta peau a gardé les embruns salés en mémoire.
Ta peau est brûlée par les rayons ardents de l'astre solaire.
Le sel marin s'est imprégné de ton sang.
Ne résiste pas, rejoins nous, plonge, laisse toi entraîner dans les fonds marins. Tu verras que la vie est belle et paisible, que ton île est triste et morose au regard de l'existence douce et langoureuse que nous t'offrons. Tu nous embabouineras à ta guise ; nous serons la, prête à te rendre la vie plus belle qu'aucune femme sur terre ne saura le faire.
Ecoute nos mélopées, bel aventurier, et laisse toi aller. Délie tes liens, ne fais plus semblant et plonge. Rejoins nous et ta vie ne sera plus la même.
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage.
Il plongea aux sons mélodieux des sirènes
Et vécu longtemps avec la belle Irène.
Val